Effectif: Coro SAATBB, 2 Fl (Pic), 2 Ob, 2 Clt, 2 Fg, Cfg, 4 Cor, 2 Tr, 3 Trb, Tb, Timp, 2 Vl, Va, Vc, Cb
Ainsi chantaient les Parques, ces divinités maîtresses de la destinée humaine de la mythologie gréco-romaine : le Parzenlied (Chant des Parques) tiré du poème Iphigénie en Tauride de Goethe parle de malédiction et de destinée. Johannes Brahms s’en est inspiré. Son Gesang der Parzen op. 89 décrit avec des sons saisissants et explosifs la lutte pour surmonter la malédiction mythique grâce à la pureté d’un comportement vrai et noble et à la force de l’espoir.
Cette nouvelle version de l’œuvre se base sur la première édition de 1883. Elle associe les exigences d’une édition Urtext scientifique et celles d’une pratique d’exécution moderne. Le matériel d’exécution est en vente. En concert, cette pièce de 12 minutes environ peut par exemple être associée au Deutsches Requiem de Brahms.